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« Le sang d’encre »
Le sang d’encre est un ouvrage atypique, à la frontière de l’écrit et de l’oral, de la langue savante et de la langue courante. Récit poétique, il parle de l’écriture, du verbe et du partage, de l’étranger aussi, du voyage, de l’ailleurs- de façon allusive de l’Algérie – mais surtout du pays de l’Ailleurs. Des comptines ponctuent de petits faits intimes comme des sujets d’actualité, donnant au sang d’encre allant, fraîcheur, humour et lui offrant ainsi une mise en perspective étrangement grave et critique. Le Gris, Ophélie, Marjorie, Jasmine … sont autant les personnages d’une autobiographie que d’une fiction.
Le fil rouge reste donc veineux, il vient de la réalité du monde, des jours de la semaine et de leurs couleurs tout en maintenant le ton d’une devinette. « Le rouge est mis » comme dit le dictionnaire « Le Robert » pour dire « les dés sont jetés » ou « les jeux sont faits » On reconnaît dans le sang d’encre la précision objective, la lucidité et les références d’une universitaire, mêlées à la fantaisie et à la liberté de pensée jubilatoire d’une femme de théâtre. Musique !…
Cahier n°1 « Au Loup ! » 2004-2005
Résumé: Est-ce que le conte est bon ? Le loup est-il si mauvais que ça ?
Tous deux transformistes. L’auteur caresse des métamorphoses poétiques placées sous le signe du théâtre et d’Armand Gatti
Cahier n°2 « D’Eux ! » 2005-2006
Résumé: L’auteur continue de caresser des métamorphoses poétiques renouvelant la tradition des cahiers illustrés. Les globules blancs se comptent en nombre.
L’auteur conte ses globules loups. Dans un deuxième cahier de « Douze règlements de contes pour adultes », elle continue de faire suivre le tracé d’Eux par sa plasticienne S. Audouin
Thème: suite de portraits
L’occasion d’une dédicace à Bartabas et au cheval à bascule constitue l’entrée en scène d’une chevauchée fantastiquement visuelle et sonore de portraits, entre délicatesse et démesure. Comme autant de faire-part à la vie à la mort, ils sont une exaltation
de vies accidentées. Sous le titre proféré en promesse faite au Sujet, le portrait sort de l’enclos individuel pour s’inscrire dans une puissante solidarité. Et pour boucler son tour de piste, le livre revient sur la figure emblématique d’un forban infrangible : Bartabas.
Les textes de Céline Garcia créent en attelage aux photographies de Christian Jardi un manège poétique et théâtral attachant.
Collaboration à la revue Etoile d’encre des Editions Chèvrefeuille étoilée
Revue de femmes en Méditerranée
« Moulin et remous » 2005
L’arbre aux histoires n° 29-30
Édition revue Etoiles d’encre – mars 2007
« Regards sur Pégase-Bartabas » 2009
Regards n° 39-40
Édition revue Etoiles d’encre – octobre 2009
« Case 154 » 2009
Secrets de femmes n° 37-38
Édition revue Etoiles d’encre – mars 2009
« Le Toutim » 2010
Regards n° 41-42
Édition revue Etoiles d’encre – mars 2010
« Dossier Armand Gatti » 2008
« Quand on parle du Loup: Gatti »
« Le temps de l’Exode – Ya akhi mon frère »
Entre temps n° 33-34
Édition revue Etoiles d’encre – mars 2008
« Faits minuscules » 2010
Ce jour-là n° 43-44
Édition revue Etoiles d’encre – septembre 2010
Collaboration Amitié François Fabié
Colloque François Fabié – Assemblée Nationale – avril 2008
Un poète de clocher à Paris
François Fabié, l’art dramatique et la Comédie Francaise.
Ce livre réunit les actes du colloque François fabié qui s’est tenu le 12 avril 2008 à l’Assemblée nationale et les souvenirs de la vie parisienne du poète.
Anthologie – La poésie érotique féminine française contemporaine – Giovanni Dotoli
2 volumes
Editeur Hermann
Poèmes de Céline Garcia pg. 353 à 357
Parution dans la revue « Le frisson esthétique »
La maison de thé et autres herbes folles – N°11 pg. 58, Mère fleur
Le plumier – N° 14 Printemps/été 2013 P.54-55
ORB, la femme habillée de fleuve – N° 13 Printemps/été 2012 P.39
La lettre à tue-tête, un T à deux … – N° 15 Automne / hiver 2013-2014 P.53 à 59
Collection Éphémérités
Toute ressemblance avec
On peut considérer cette co-écriture comme un jeu, un défi, un exercice, un passe-temps, une joute, un « joue contre joue », un pas de deux… On peut aussi se dire que comme l’amour, l’écriture consiste à dépendre. On ne pense pas tout seul, et à chaque passage au tour de l’autre, dans cette alternance d’un auteur à l’autre, on éprouve l’écriture qui se transmet, qui s’organise sans nous, comme un prolongement avéré, sans qu’il y ait eu trop de prévisions, de préalables ou d’anticipation possible. Et on peut se dire enfin que c’est peut-être cette imprévisibilité même qui nous ressemble.
Création musicale « île flottante » de Leopaul G.
Faire part
Céline GARCIA est née à Oran en 1958. Docteur d’État ès Lettres, diplômée de l’Institut d’Études théâtrales et cinématographiques de Paris Sorbonne, Comédienne, Professeur d’Art dramatique, formée par des artistes pédagogues majeurs, elle a longtemps enseigné le théâtre au Conservatoire de Béziers et à l’Université d’Avignon, assurant aussi le développement des Classes à Horaires Aménagés Théâtre.
Auteure, elle écrit Le sang d’encre, Douze règlements de contes pour adultes — texte préfacé par Armand Gatti, …Elle est publiée dans l’Anthologie de la poésie féminine contemporaine chez Hermann et dans des revues littéraires.